Togo : une diplomatie active au service de la sous-région et du continent africain

Togo : une diplomatie active au service de la sous-région et du continent africain

Togo : une diplomatie active au service de la sous-région et du continent africain

La diplomatie agissante du Président de la République, SEM Faure Gnassingbé est portée au service de la paix et du développement de la sous-région et du continent africain.

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« J’ai été envoyé par le Président de la transition, SEM Bah N’Daw pour remercier le Président Faure Gnassingbé pour son implication au Mali. Actuellement l’ensemble des organes de la transition sont en place ». Ainsi s’exprimait le Vice-président de la transition du Mali après son entretien le mardi 29 décembre 2020 avec le Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé au palais de la Présidence à Lomé.

Ces propos simples de reconnaissance du Vice-Président malien lèvent un coin du voile sur la diplomatie togolaise. Une diplomatie sans fards,  sans flonflons, feutrée, mesurée, mais d’un dynamisme évident et d’une grande efficacité surtout au niveau de notre sous-région. Normal pour un pays qui ambitionne de devenir une Nation de référence, un hub, et qui a mis en marche son train de développement.

La diplomatie agissante du Président de la République, SEM Faure Gnassingbé est portée au service de la paix et du développement de la sous-région et du continent africain.

Difficile de compter et de nommer les efforts du Chef de l’Etat dans la résolution des crises ouvertes ou larvées dans différents pays du continent soit en bilatéral soit dans le cadre des organisations régionales.

La voix du Togo porte désormais dans le concert des Nations, quand il s’agit du maintien et de la consolidation de la paix et de la stabilité pour un développement harmonieux et durable des Etats.

La diplomatie togolaise s’est manifestée tout récemment pour la résolution de la crise malienne qui a permis le retour au calme et la mise en place des organes de transition dans ce pays frère, conformément aux dispositions de l’instance sous-régionale relatives aux mécanismes de prévention, de gestion et de règlement des conflits, de maintien de la paix et de la sécurité, ainsi qu’à celles du Protocole additionnel sur la démocratie et la bonne gouvernance.

Le Président de la République a marqué d’un sceau particulier sa présence aux différents sommets extraordinaires de la CEDEAO sur la situation sociopolitique au Mali et ailleurs. Des rencontres de haut niveau au cours desquelles, le chef de l’Etat a appelé à la solidarité des pays africains et à la mobilisation des partenaires internationaux pour une consolidation de la paix en Afrique.

Cette implication personnelle du Président Faure Gnassingbé a été saluée par les autorités maliennes qui lui rendent régulièrement visite pour bénéficier de ses sages conseils.

Confirmation faite ce 29 décembre 2020 par le Vice-Président de la transition malienne, le Colonel Assimi Goïta en visite de travail à Lomé.

Cette visite intervient quelques semaines après celle du Président de la transition du Mali, SEM Bah N’Daw, un déplacement marqué par des rencontres en tête à tête avec le Chef de l’Etat et une visite au Centre d’entraînement aux opérations de maintien de la paix (CEOMP) où sont formés des contingents de la Mission intégrée des Nations unies pour la stabilité du Mali (MINUSMA).

La contribution du Togo, à travers des contingents dans les missions de maintien de paix sous le drapeau des Nations unies dans différents pays confrontés aux conflits, est devenue une tradition. Un engagement reconnu par de la Communauté internationale notamment les Nations unies, l’Union africaine (UA) et de la CEDEAO.

Cette reconnaissance s’est manifestée par l’élection de notre pays à plusieurs reprises comme membre du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine (CPS) et membre non-permanent du Conseil de sécurité des Nations unies.

De toute évidence, l’expérience du Président de la République, SEM Faure Essozimna Gnassingbé permet à de nombreux pays de faire face aux nouveaux défis sécuritaires qu’impose le contexte sous-régional et mondial.