L’un des défis que le chef de l’Etat, SEM Faure Essozimna Gnassingbé s’est engagé à relever, est la construction d’infrastructures scolaires et leur équipement, en vue d’offrir de meilleures conditions d’apprentissage aux apprenants et à leurs enseignants.
Ainsi, plusieurs salles de classe ont été construites et réhabilitées dont 5000 équipées sur ressources propres, et 300 équipées en TIC dans le cadre du Programme d’urgence de développement communautaire (PUDC). Plusieurs établissements scolaires ont été également dotés de laboratoires modernes, de bibliothèques, et de système d’alimentation en eau potable et assainissement.
Des travaux de construction de 25.000 nouvelles salles de classes sont en cours d’exécution. Dans le même élan, le gouvernement s’active pour l’extension des lycées scientifiques aux autres régions du pays.
En termes d’infrastructures d’accueil des élèves-maîtres, cinq nouvelles Ecoles normales d’instituteurs (ENI) ont été créées, ce qui porte le nombre à six.
Dans domaine de l’enseignement technique plusieurs blocs pédagogiques et de nouveaux établissements et centres de formation professionnelle ont été érigés et équipés.
Avec le changement de paradigme pour l’adaptation de la formation au marché de l’emploi, le gouvernement a procédé à la création d’Instituts de formation en alternance pour le développement (IFAD) qui ont vocation à dispenser des enseignements adaptés aux besoins du secteur privé et à l’auto-emploi.
Un IFAD dédié à l’aquaculture est déjà opérationnel à Elavagnon dans l’Est Mono et un autre consacré à l’Elevage va bientôt ouvrir ses portes à Barkoissi dans l’Oti. Plusieurs autres IFAD sont prévus pour répondre valablement au souhait de la jeunesse et son insertion professionnelle.
De nouvelles actions sont en cours pour la mise en œuvre effective de la Carte Scolaire souhaitée par le Président de la République. Cet outil de planification au niveau local et national permettra au gouvernement de mieux faire la programmation des besoins futurs en matière d’éducation, notamment en personnel enseignant, en infrastructures et en équipements scolaires.
Tout cet investissement en infrastructures scolaires contribuera à la qualité de l’enseignement et facilitera une formation adaptée, ceci permettra à la jeunesse d’avoir les moyens pour leur insertion socioprofessionnelle et par ricochet participer au développement social et économique du pays.